Cette généticienne dénonce les vaccins COVID
Alexandra Henrion-Caude se lâche dans l'émission Bercoff dans tous ses états diffusée sur Sud Radio
«Ce Covid 19 qui rend fou»
Alexandra Henrion-Caude (généticienne): «On va vacciner des millions de personnes qui sont en très bonne santé et pour lesquelles la maladie ne présente pas de risques. Vous avez rappelé justement les taux de létalité qui sont donc pas apparentés à ceux de la grippe. Est-ce qu'on est en train de nous parler de telle campagne pour la grippe ? Donc, on voit bien qu'on est comme toujours, en disproportion totale avec ce Covid 19 qui rend fou. Il n'y a pas, dans les rapports tels qu'ils ont été construits, des essais cliniques, de données sur l'interruption de la transmission. Alors ça a l'air un peu technique, ce que je vais dire, mais en fait, c'est tout simple. C'est la fameuse idée de notre premier ministre de : " Je me vaccine, je protège, je protège les autres. " Cette idée d'altruisme, je ne veux pas critiquer l'idée de l'altruisme sauf que ces essais cliniques n'ont pas été dessinés pour savoir quelle était la possibilité d'interrompre la transmission.»
«Le diable se cache dans les détails»
Alexandra Henrion-Caude: «Donc, on ne sait pas. Donc, on ne sait simplement pas. Donc, en fait, si les gens se vaccinent pour protéger les autres, c'est une mauvaise idée. En plus, quelle est la signification de vacciner toute une population de Français qui, quand ils vont aller à l'étranger, vont aussi amener leurs virus ? Ça ne tient pas la route parce que la capacité vaccinale, à proprement parler, du virus dans le sens protection de la santé publique., on ne l'a pas, on ne l'a pas. Et puis, le deuxième et dernier aspect, il parle des infections graves. Et ça, c'est aussi crucial parce qu'effectivement, dans ces essais, et bien, il y a le souci qu'on n'a aucune donnée sur le fait que ça diminue les admissions à l'hôpital, sur le fait que ça diminue les admissions en réanimation sur finalement la diminution des formes sévères. Et quand on va dans le détail, parce que vous savez que c'est un peu...» André Bercoff: «Le diable se cache dans les détails.» Alexandra Henrion-Caude: «Voilà. Moi, je suis pas une experte mais j'aime bien le côté scientifique d'aller lire un peu tout.»
«C'est pour cela que beaucoup de collègues scientifiques dénoncent l'imposture»
Alexandra Henrion-Caude: «Et bien, quand vous prenez le rapport de Pfizer, il vous explique quand même que vous avez chez les personnes vaccinées, 1 personne sur 8 qui ont développé des formes sévères et chez les non vaccinés, 1 personne sur 16. Autrement dit, vous avez deux fois moins de chance... Dans le rapport Pfizer, donc vous auriez donc deux fois moins de chance. Mais il faut effectivement creuser les détails.» André Bercoff: «Vous aviez deux fois moins de chances d'attraper des formes sévères en ne se vaccinant pas ?» Alexandra Henrion-Caude: «En ne se vaccinant pas !» André Bercoff: «C'est ce que dit Pfizer. C'est intéressant.» Alexandra Henrion-Caude: «Donc c'est intéressant ! Et c'est pour cela que beaucoup de collègues scientifiques dénoncent l'imposture qui est invraisemblable de ce vaccin Covid et attendu comme la solution à notre survie. Et bien, je ne crois pas que la survie de notre espèce soit conditionnée à ce vaccin. Ou alors c'est parce qu'on nous l'aura imposé.»
