SANTÉ

Publié le 28 décembre 2020

Dr Louis Fouché dénonce «On nous maintient dans la peur de manière volontaire»

Le docteur Louis Fouché était l'invité de la journaliste Jeanne Baron sur la chaine Youtube «39.9 L'actu brûlante» ce dimanche 27 décembre 2020.

«Vous avez énormément de faux positifs»

Dr Louis Fouché: «L'information mainstream n'aide pas les gens à comprendre ce qu'il se passe réellement, qu'elle maintient une scansion narrative traumatique. Je ne suis pas le seul à l'avoir dit, mais quand Jérôme Salomon, tous les jours vous annonce le nombre de morts, quand, tous les jours, on vous annonce le nombre de contaminés. On mélange les choses en plus. On vous dit ce sont des contaminés, ce sont des cas alors que ce ne sont que des tests positifs à SARS-COV-2 avec toute la nuance qu'il faut apporter sur cette notion de test. Vous avez énormément de faux positifs.»

«C'est pratique de maintenir une population dans la peur»

Dr Louis Fouché: «Vous avez 86% des gens qui sont testés, qui sont asymptomatiques, 93 % à 97 % des gens qui sont testés positifs à SARS-COV-2 qui sont asymptomatiques ou bénins. Il y a une quinzaine de tests différents avec des cibles, des amorces génétiques qui ne sont pas les mêmes. Voilà donc, qu'est-ce que ça veut dire ? C'est qu'on vous maintient dans la peur. Et on nous maintient dans la peur. Parce qu'à partir du moment où vous maintenez quelqu'un dans la peur, c'est pratique, vous pouvez lui faire faire ce que vous voulez. Moi, et tout le collectif, on pense qu'on nous a maintenus dans la peur de manière volontaire parce que c'était pratique. C'est pratique de maintenir une population dans la peur. Mon intuition, c'est qu'on est dans un déferlement totalitaire, c'est-à-dire qu'au-delà de la crise sanitaire, il y a une crise démocratique.»

«Ma peur c'est celle du déferlement totalitaire»

Dr Louis Fouché: «Il y a une crise de la science, une crise de la médecine et une crise du système hospitalier. Il y a une crise de notre société. En fait, il y a tout plein de crises qui se déplient, il y a une crise financière. Et toutes ces crises sont en train de se déplier et que la crise sanitaire elle même, c'est-à-dire la gravité du virus. Bon, oui, il y a quelque chose, je ne dis pas ça et ça a tiré très fort sur notre système de santé. Ça a mis au jour tout ce qui n'allait pas. Par contre, je pense qu'on a effectivement des gens qui ont peur et qui, sur cette peur-là accepteront des choses qui en fait sont inacceptables, à mon sens, en termes de libertés publiques et de libertés individuelles et politiques. Et on a des gens qui ont confiance dans la vie. Je pense qu'on peut faire cette séparation là, par contre. Moi, je fais partie des gens qui ont confiance dans la vie et qui, par contre, si vous devez prendre ma peur, ma peur, c'est celle du déferlement totalitaire.»

«Toutes ces lois sont en train de passer les unes derrière les autres»

Dr Louis Fouché: «Actuellement, vous avez des lois qui sont votées à 3 heures du matin par 40 députés. La loi de bioéthique, c'est extrêmement choquant qu'elle ait été votée comme ça parce qu'elle concerne absolument tout le monde. On a décidé qu'on allait faire des chimères homme-animal sur la recherche sur des cellules embryonnaires. Pardon ? Les gens sont au courant que ce sont 30 députés qui ont voté ça tout seuls dans leur coin ? Donnez vos fonds de pension et vos retraites à BlackRock, à des hedge funds américains qui sont extrêmement mafieux, pas clairs, qui vont aller jouer au casino sur les marchés financiers avec vos retraites. C'est ça qu'on veut vraiment ? En tout cas, ça nécessite discussion au niveau collectif, au un niveau démocratique, que ce ne soit pas fait sur un état d'urgence, etc. La loi de sécurité globale ? Pardon, ça veut dire quoi? Il y a la problématique de ne pas pouvoir filmer les policiers mais il y a la problématique, surtout, de créer des milices privées. D'un coup, des gens sont capables d'avoir la violence légitime en étant des milices privées. C'est ça qui devrait nous poser question. Toutes ces lois sont en train de passer les unes derrière les autres.»



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